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Chers amis et amies, une fois encore nous allons nous réunir pour méditer ensemble...Pas banale chose celle là...moins banale encore connaissant la qualité des échanges qui la suivent...

Dans son dernier livre: «Éradiquer la souffrance», Nicole Montinéri décrit ainsi la situation méditative:

"Le sentiment exacerbé d'une identité qui existe à travers une histoire nous fait vivre sans cesse sur la défensive, dans un rapport conflictuel avec les autres qui sont vus toujours comme différents et donc reçu comme une agression. Ce qui n'est qu'une forme particulière et limitée de la conscience. ..prend une place démesurée et exclu tout ce qui est perçu comme un danger pour sa survie..".

Une autre manière de le dire celle d'Alexandre Jolien:

«Pour aller vers Dieu, il faut le dire tout net, il s'agit de revenir à la chair».

Et celle-ci de Michel Conge:

«Cet ensemble de personnages ou de masques vous ne pouvez l'enlever, il doit être avec tant d'amour, tant d'amour qu'il fondra sous l'effet de ce sentiment et que je comprendrai la relation que je n'ai jamais comprise entre «moi» et «Moi».

Quelle est votre préférée?

De cœur a cœur chères amies et chers amis pour cette nouvelle rencontre.

Noëlle.

Bien chers amis et chères amies l'heure de notre atelier approche, une fois encore nous allons avoir l'opportunité d'exercer cette chose incroyable (si, si !) dont on dit tant de choses et que l'on appelle méditation.

En effet elle recouvre un large éventail d'expériences quasi infini mais dont on peut cependant dire, sans trop s'égarer, que sa pratique, quel qu’en soit le niveau, ne peut être que bénéfique...

Jean-Yves Leloup le dit ainsi : « Quelles sont dans le monde contemporain les pratiques qui pourraient être les plus essentielles, les plus capables de donner sens ? Je réponds sans hésiter l'exercice conjoint de la méditation et de la compassion ».

Et à la manière de Christiane Singer : « Cette puissance infiniment supérieure à l'homme et qui mystère vertigineux n'est agissante sur terre qu'à travers l'homme qui l'accueille et le corps qui l'incarne, cette puissance ou mieux cette présence ineffable et fragile c'est l'amour qui nous fonde ».

Vous hésitez encore ? Alors peut-être que l'odeur du gratin prévu comme d'hab. et quelques bricoles seront convaincantes ?

Alors n'hésitez plus chers amis et amies venez vers 18h, de cœur à cœur...

Noëlle.

Bien chers amis et chères amies Bonjour, pourquoi méditer?

"Lorsque nous apprenons à séparer notre pensée de notre corps nous commençons à percevoir l'immortalité de l'âme" dit

"Nicole Montinéri".

OUI, mais encore: "La difficile position de l'homme c'est d'être à la fois de l'éternité et du temporel" affirme "Michel Conge".

Autrement dit: "Tant que nous ne sommes pas en amour avec nous-même nous sommes un danger pour les autres" selon "Christiane Singer".

De quel amour parle -t-elle donc? " Aime et fait ce que tu veux " a dit "Maître Eckarth".

Mais encore..."On ne guérit pas des souffrance du passé on en émerge" selon "Arnaud Desjardins".

"Nous sommes en temps normal comme quelqu'un qui dans un train en marche continue à tenir sa valise à la main" a dit "Ramana Maharshi"...

Voilà, nous y sommes....comment poser notre valise lourde de tous nos enfermements ?

"Bienheureux celui qui a appris à rire de lui-même: il n'a pas fini de s'amuser" "Proverbe chinois".

Quelques motivations amis et amies pour nous retrouver jeudi prochain à 18H afin de MÉDITER ensemble, partager expériences et réflexions mais aussi mon gratin traditionnel si cela vous dit....Très très bonne semaine et à tout bientôt de cœur à cœur.

Noëlle.

Bien chers amis et chères amies,

Porcelet a raison, aujourd'hui est le meilleur jour pour vous remercier de notre bel atelier de samedi dernier et vous rappeler la prochaine date : le 5 juin à 18h suivi à 20h30 d'un partage de repas..

De cœur à cœur.

Noëlle.

Cet ensemble de personnages ou de masques vous ne pouvez pas l'enlever il doit être vu avec tant d'amour tant d'amour qu'il fondra sous l'effet de ce sentiment et que je comprendrais la relation que je n'ai jamais comprise entre moi et Moi."

Michel Conge